Qu'ont mis en place les pays les moins touchés par la COVID-19?
La pandémie de COVID-19 dure maintenant depuis un peu plus d'un an.
Si certains pays ont été durement touchés par l'impact de celle-ci, d'autres ont eu un bilan très faible. Voici ce que certains de ces pays ont mis en place comme mesures.
À Hong Kong, des mesures sanitaires strictes ont été mises en place très rapidement. Cette métropole, située non loin de Wuhan, a imposé le port du masque à tous ses citoyens très tôt, en plus de tester massivement ses citoyens. Un contrôle des frontières a également été mis en place. De plus, lorsqu'un quartier voyait son nombre de cas monter en flèche, l'administration ne tardait pas à confiner de façon très stricte certains de ses citoyens.
La Nouvelle-Zélande est souvent nommée comme étant l'endroit qui a été le plus en mesure de contrôler la pandémie. En plus d'imposer une quarantaine de 14 jours à l'hôtel à toute personne entrant sur son territoire, le pays y est allé d'un confinement stricte dès mars 2020 alors qu'il n'y avait que 28 cas dans tout le pays. La première ministre n'a pas hésité par la suite à reconfiner certaines villes lorsque des cas de contamination communautaire apparaissaient.
L'Australie a également imposé des mesures très strictes à ses citoyens. On a comme exemple un confinement complet de la ville de Perth alors qu'un seul nouveau cas de contamination communautaire avait été enregistré en janvier dernier. Le pays a également fermé rapidement ses frontières, en plus de tester massivement ses citoyens.
L'Islande a également été en mesure de contrôler la pandémie sur son territoire. En plus d'imposer une quarantaine obligatoire pour les voyageurs, ces derniers devaient se soumettre à deux tests à intervalle de cinq jours dès leur arrivée. De plus, le pays séquence chacun des tests positifs depuis le début de la pandémie afin d'identifier la génétique de chacun des cas.
Le Vietnam, pays communiste, y est allé de manière forte pour contrôler la pandémie. Les policiers entraient en pleine nuit dans les maisons de ceux qui avaient été testés positifs à la COVID-19 afin de s'assurer qu'ils restent à la maison. De plus, les coordonnées des personnes atteintes par le virus étaient rendues publiques et on menaçait d'emprisonner toute personne refusant de porter le masque en public.
