Radio-Canada a justifié sa décision en soulignant qu'elle souhaitait éviter d'être associée à toute polémique.
Cependant, le Journal de Montréal a apporté davantage de précisions après avoir interrogé Guylaine O'Farrell, première directrice, stratégie interne et externe à CBC/Radio-Canada, tel que rapporté par Monde de Stars.
Selon elle, c'est bien la présence de Guillaume Lemay-Thivierge dans la publicité qui pose problème.
Malgré ce refus, Meubles RD a confirmé qu'un autre spot publicitaire sera tout de même diffusé pendant le Bye Bye, mais il s'agira d'une version remaniée, sans Guillaume Lemay-Thivierge.
Cette décision soulève des questions: est-ce la personnalité publique de l'acteur qui dérange ou s'agit-il simplement d'une prudence exacerbée de la part de la société d'État ?
L'ironie de la situation réside dans le fait que cette controverse a créé un énorme buzz pour Meubles RD.
Malgré le refus de Radio-Canada, la publicité fait l'objet de discussions passionnées sur les réseaux sociaux.
Certains internautes se mobilisent même pour soutenir l'entreprise, comme David Jalbert.
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En refusant la diffusion, Radio-Canada a peut-être, involontairement, amplifié l'intérêt pour cette campagne publicitaire.
La marque bénéficie désormais d'une visibilité accrue, et Guillaume Lemay-Thivierge, malgré les critiques, continue de capter l'attention.
Au final, bien que Radio-Canada ait choisi de ne pas diffuser la publicité incriminée, la campagne semble avoir atteint son objectif.
En misant sur Guillaume Lemay-Thivierge, Meubles RD s'est positionné au centre de l'actualité, générant discussions, débats et même une certaine fidélité de la part des consommateurs.