Ce qui est le plus difficile à comprendre de cette histoire, c'est que les médecins qui ont pris la fillette en charge n'ont pas semblé vouloir prendre le cas au sérieux:
Une prise en charge beaucoup trop longue
C'est en mars 2021, soit neuf mois avant sa mort, que les symptômes ont débuté par une douleur au sein ainsi que des petits boutons et « une peau assez étrange ».
La consultation conclut que c'est une mastite, soit une inflammation des seins. Elle est traitée par antibiotiques.
Or, la situation ne s'améliore pas, et le mois suivant elle est admise à l'hôpital. On refuse de faire la palpation du sein vu son âge et on conclut encore que c'est une mastite.
La situation continue d'empirer alors que Shiloh peine à tenir debout et que son sein commence à suinter. La première prise en charge ne donne rien, les soignants pensant même que la jeune fille se fait maltraiter, mais après avoir enfin reçu un rendez-vous en biopsie, le pire s'est confirmé pour la famille: angiosarcome mammaire de grade II.
Malgré quatre mois de chimiothérapie, ça n'a pas été suffisant, elle est décédée en décembre. Il était trop tard.
Voici une vidéo qui résume l'histoire:
Avez-vous déjà vécu ou entendu parler d'une expérience du genre ici au Québec?
Source: TVA
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