Un humoriste s'excuse à Sonia Benezra, 30 ans après s'être moquée d'elle
Dans les derniers jours, Sonia Benezra était invitée à l'émission « Pour une fois », sur les ondes de Télé-Québec.
Tel que le rapporte HollywoodPQ, lors de son entretien avec Vanessa Destiné, Sonia a notamment abordé les moqueries dont elle a été victime au courant de sa carrière. Elle a, entre autres, parlé d'un sketch de RBO qui l'avait profondément affecté.
« À l'époque, je me rappelle que Rock et Belles Oreilles avaient fait une imitation de tous les VJ, ouin, c'était quelque chose. J'ai été dévastée parce qu'on m'avait jouée, c'est Bruno Landry (...) La grosse perruque noire, ils m'avaient jouée genre comme une prostituée cheapette », a-t-elle raconté.
Voici le sketch en question:
Sonia a ensuite révélé que Bruno Landry s'était excusé, 30 ans plus tard:
« Il m'a envoyé une lettre. Je dirais 30 ans plus tard (...) Pour s'excuser, et pourtant je l'avais reçu 20 000 fois à mon émission à TQS (...) J'ai dit: Ben voyons donc. C'est un métier être humoriste, ce n'est pas facile, il faut le faire comme il faut. »
Par ailleurs, rappelons que dans les derniers mois, alors qu'elle était de passage à l'émission « Jeannot BBQ », animée par Jean-Sébastien Girard, Sonia s'est confiée sur un moment difficile avec un ancien patron.
L'animateur avait abordé le sujet en invitant Sonia à parler de ce fameux moment:
« Il y a quelqu'un qui t'a dit que tu avais peut-être fait le tour du jardin... »
Voici ce qu'elle a répondu:
« Oui. Je ne veux pas donner de nom. Il est toujours dans le milieu. C'était à la fin de mon talkshow à TQS et un certain patron m'avait dit ça. J'étais extrêmement blessée. J'ai dit : Je dois être vieille. J'ai fait toutes les entrevues.
J'étais dans la trentaine. C'est horrible, horrible de croire ça. J'ai décidé d'accepter que j'avais moins de travail. Qu'on ne voulait pas autant de moi, que c'était normal. Oui, j'avais cru qu'il avait raison. Et ça, c'est très dommage. Je regrette ça. »
J'étais dans la trentaine. C'est horrible, horrible de croire ça. J'ai décidé d'accepter que j'avais moins de travail. Qu'on ne voulait pas autant de moi, que c'était normal. Oui, j'avais cru qu'il avait raison. Et ça, c'est très dommage. Je regrette ça. »
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