Mariana Mazza s'ouvre avec beaucoup de sincérité sur ses démons des dernières années
La vie d'une personnalité publique n'est pas toujours facile. Même si certains d'entre nous envient les gens connus et populaires, ces derniers font face à des difficultés qu'on ne pourrait comprendre.
C'est le cas de l'humoriste Mariana Mazza, qui a connu une hausse fulgurante de popularité à ses débuts, elle qui est devenue la saveur du mois. Même si elle roule encore sa bosse aujourd'hui, elle a connu des difficultés importantes qu'elle a racontées en entrevue à Vrai dans le documentaire Comme des papillons.
Voici ce qu'elle a dit:
« Partout où j'allais, le monde me reconnaissait dans la rue (...) À toutes les fois, c'était une shot d'adrénaline. Je ne mangeais pas beaucoup (...) parce que ton ventre est tellement noué (...) il y a plein d'affaires qui se passent. »
« À un moment donné, c'est le sentiment de solitude qui arrive. Parce que toi, pendant ce temps-là, tu as l'impression que tu es dont bien entourée. La planète est là, mais, oui, oui... c'est éphémère (...) Le down commence à se ressentir quand tout cet effet de nouveauté est rendu normal. Là, ce n'est plus drôle. »
« Je suis allée chez le médecin. Je rentre dans son bureau, je m'assois, puis il me dit: Comment ça va? Là, je pars à pleurer. Il fait comme: Oh là là, en ce moment, si tu ne veux pas péter au frette il faut que tu ralentisses. »
« Je commence à prendre [des antidépresseurs]! Je prends un peu de poids, je n'ai pas de libido, je suis en tab*rn*k. Je n'ai plus rien pour moi. À un moment donné, je vois les bienfaits. Je dors bien la nuit. »
« À un moment donné, c'est le sentiment de solitude qui arrive. Parce que toi, pendant ce temps-là, tu as l'impression que tu es dont bien entourée. La planète est là, mais, oui, oui... c'est éphémère (...) Le down commence à se ressentir quand tout cet effet de nouveauté est rendu normal. Là, ce n'est plus drôle. »
« Je suis allée chez le médecin. Je rentre dans son bureau, je m'assois, puis il me dit: Comment ça va? Là, je pars à pleurer. Il fait comme: Oh là là, en ce moment, si tu ne veux pas péter au frette il faut que tu ralentisses. »
« Je commence à prendre [des antidépresseurs]! Je prends un peu de poids, je n'ai pas de libido, je suis en tab*rn*k. Je n'ai plus rien pour moi. À un moment donné, je vois les bienfaits. Je dors bien la nuit. »
Selon ses aveux, elle continue de prendre sa médication, qui l'aide beaucoup à demeurer calme et sereine.
Et vous, avez-vous déjà fait une dépression?
Source: HollywoodPQ
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