OGM et produits pharmaceutiques sont une menace pour l'humain, selon Poutine
La pandémie actuelle n'est certainement pas le seul facteur mettant en danger la santé et le développement de l'humanité.
Les choix quotidiens de tous et de chacun sont également décisifs quant à la bonne santé mentale et physique de la population mondiale.
Selon le président russe Vladimir Poutine, les produits alimentaires conçus à partir d'OGM ainsi que les produits pharmaceutiques ralentiraient le développement de l'espèce humaine.
Plus précisément, Poutine croit au fait que les grandes puissances de ce monde ralentissent de manière intentionnelle les gains et les progrès de l'espèce humaine.
C'est à la suite de la préparation d'un rapport conçu par le Conseil de sécurité (FISCR) que le président russe a songé à l'idée que les gouvernements occidentaux de ce monde maîtriseraient les individus en contrôlant ce qui se trouve à l'intérieur de leurs aliments ainsi qu'en leur imposant la consommation de produits pharmaceutiques, tels que des vaccins.
« Nous, en tant qu'espèce humaine, avons le choix de continuer à développer notre corps et notre cerveau en suivant une trajectoire ascendante saine, ou nous pouvons suivre l'exemple de l'Ouest de ces dernières décennies et intentionnellement empoisonner notre population avec des aliments génétiquement modifiés, les produits pharmaceutiques, les vaccinations, la restauration rapide qui doivent être classifiés en tant que drogue dangereuse et addictive », est indiqué dans le rapport développé par la FISCR.
Pour contrer, entre autres, le contrôle alimentaire, la Russie a fait le don de terres gratuites à ceux et celles qui décidaient de s'investir dans le domaine de l'agriculture biologique et durable. Il est espéré qu'ainsi, la Russie pourrait devenir le pays #1 quant à l'exportation d'aliments sans OGM cultivés écologiquement.
Pour le moment, la Russie se concentre sur la production agricole saine. Les autres points soulevés qui concernent la consommation de produits pharmaceutiques par les occidentaux ne sont toutefois pas pris en charge par le pays, pour le moment.
Crédit : Santé Nutrition
