En effet, tel que rapporté par Radio-Canada, ce sont 43 postes de techniciens qui seront abolis et les départs s'étaleront entre le 30 août et le 27 septembre.
Le diffuseur CP24 déménagera cet automne de son siège de la rue Queen Ouest à Toronto vers le campus de Scarborough, suivi par BNN Bloomberg en 2025.
Bell assure respecter toutes ses obligations en vertu des conventions collectives et des lois fédérales et propose des formations, des indemnités de départ volontaire ainsi que la suppression de postes vacants afin de réduire l'impact sur les employés.
Cette restructuration pourrait toucher 49 postes syndiquées, ce qui sème l'inquiétude chez le syndicat Unifor.
La présidente de ce dernier, Lana Payne, critique Bell concernant ces suppressions de postes, malgré les profits considérables réalisés l'année dernière.
Selon elle, ces actions mettent en péril le journalisme et la démocratie et contribuent à l'augmentation des déserts d'information au Canada.
Rappelons que Bell avait déjà annoncé des suppressions de postes plus tôt cette année, avec la société mère BCE supprimant 4 800 emplois et vendant 45 de ses 103 stations de radio régionales.
À suivre.
Source: Radio-Canada
Bell Média abolit 43 postes de plus