Entre les souvenirs de taux d'intérêt stratosphériques des années 1980 et la flambée des prix immobiliers en 2024, une chose est certaine: les obstacles à la propriété ont bien changé, laissant plusieurs milléniaux frustrés par les comparaisons avec les générations précédentes.
Dans sa vidéo, Félix rappelle que dans les années 1980, le taux hypothécaire atteignait des sommets avec 14 %, rendant les paiements mensuels assez lourds pour l'époque.
Pourtant, le prix moyen d'une maison, ajusté aux dollars d'aujourd'hui, permettait de limiter le poids des paiements hypothécaires à 22 % du revenu médian.
Ce ratio, bien qu'élevé, reste largement inférieur à ce que les acheteurs de 2024 doivent affronter.
En 2000, poursuit Félix dans son analyse, la situation s'était légèrement améliorée: un taux hypothécaire de 8 % et un prix moyen de 127 000 $ rendaient l'accession à la propriété plus accessible. Les paiements représentaient alors seulement 16 % du revenu médian.
Une période que plusieurs nostalgiques regardent aujourd'hui avec envie.
Mais en 2024, comme le souligne Félix dans sa vidéo, malgré des taux d'intérêt plus bas qu'en 1980, c'est l'envolée spectaculaire des prix des maisons qui pose problème.
Avec une valeur moyenne atteignant 557 000 $, les paiements hypothécaires grimpent à des niveaux inédits, accaparant près de 48 % des revenus médians.
Une situation que beaucoup qualifient de « crise » pour les jeunes familles qui aspirent à devenir propriétaires.
Voici ladite vidéo de Félix gagnant d'OD Mexique:
De nombreux internautes se disent reconnaissants envers lui, qui a osé mettre des mots sur une problématique souvent minimisée par les générations précédentes.
Cette fracture générationnelle, mise en lumière dans la vidéo de Félix, alimente un dialogue crucial sur le coût de la vie et les défis économiques actuels.
La réalité est claire: accéder à la propriété n'a jamais été aussi difficile.
Espérons que cette prise de conscience, notamment grâce à Félix, ouvre la voie à des solutions plus adaptées pour les acheteurs de demain.