Ce candidat bien connu des Québécois a dû faire briller plusieurs lueurs d'espoir à l'annonce de sa priorité au cours de son mandat : la souveraineté du Québec en 2 ans. « Je ne suis pas le candidat du PQ, je suis le candidat de la souveraineté », a-t-il émis avec confiance aux journalistes pendus à ses lèvres lors de l'enregistrement en direct.
L'humoriste compte également mettre l'emphase sur la valorisation des régions qui ont été, à ses yeux, beaucoup trop négligées : « On dirait que quand on parle du Québec, on parle seulement de Montréal et de Québec […] Les régions existent et ont un apport considérable », mentionne-t-il.
Et puis, une souveraineté n'en serait pas une sans le déploiement de sa langue maternelle au même rythme que son drapeau. Guy Nantel dénonce la propagation de l'anglais au Québec, entre autres, au coeur du milieu professionnel. Il compte remédier à la situation par le renforcement de la loi 101. Par exemple, les entreprises devront payer un impôt supplémentaire pouvant aller jusqu'à 3% dans le cas où leur commerce serait composé des mots en dehors de la langue française (excluant bien sûre un nom de famille). Cette dernière touchera également le milieu de l'immigration, où le candidat prévoit faire une vaste étude.
Les propositions suivant les piliers de son plan électoral s'avèrent également attrayantes pour certains électeurs, tel que l'augmentation de la recette dédiée au Ministère de l'Environnement, une augmentation salariale pour les enseignants, ainsi qu'un programme de gratuité scolaire de la maternelle à l'université : une première en Amérique du Nord!
Crédit : Lapresse.com